Première victime ?

Effectivement, cela demande reflexion.

*Si elle combattait, elle mourrait. Elle elle abandonnait, elle perdait toute fierté et toute possibilité de mener son projet à bien. Elle s'assit sur le lit, son front dans sa main libre. Trouvez une solution, vite. Mais elle était fatiguée. Elle oubliait presque la présence de Kal'Alzaroth dans la pièce.
A present comment deviendrait-elle riche ?
Où trouverait-elle l'argent pour acheter une poupée à sa soeur ?
Qui payerait les soins de sa mère malade ?
Comment s'offrira-t-elle la dernière consolle de Nitendo ?
C'est alors que, contre toute attente, Kumiko commença à pleurer...*

*Kumiko resista legerement quand Kal'Alzaroth lui enleva l'arme des mains. Comment allait-elle s'y prendre maintenant ? -_-' En attendant de trouver une solution, elle se mit à pleurer très bruyament. (Quelle stratégie ... )
Elle plongea sa tête entre ses bras de façon à ce que Kal'Alzaroth ne voit pas qu'elle était en train de chercher du regard un autre arme dans la chambre . Malhureusement, rien en vue. Nouvelle stratégie.()
Elle se redressa, fit mine d'essuyer ses yeux secs depuis un moment déjà et prit la parole avec une petite voix.*

Il faut que je vous avoue quelque chose. Je ne suis pas arrivée sur cette île par bateau. Mais par machine temporelle. Oui, je viens du futur. Et dans mon époque, le Terre va bientot etre détruite par de grand méchant. Nous avons recemment decouvert que le seul moyen de sauver la planete était de réunir tous les biens de cette maison dans la mienne. Enfin, dans le quartier general de l'expédition je veux dire.

*Elle releva d'abord le regard vers le jeune homme avant de le détourner brusquement, dans un mouvement de tête théatral.*

Je sais, vous trouver cela complètement fou, vous ne me croyez pas ! C'est bien pour cela que je devais vous tuer. Vous étiez notre seul obstacle. Mais maintenant c'est trop tard. Sauf bien sur, si vous acceptez de nous aider ..!

Son histoire est ai moins aussi crédible que la mienne ...

*Pensa Kumiko. u_u
Mais elle n'était pas à cours d'idée.*

Oui mais justement. Dans le futur vous etes du côté des méchants. Et vous les avez rejoind parce qu'ils vous ont volé tous vos meubles et que pour les récuperer vous etes obligé de detruire la Terre avec eux. Mais si nous mettons vos biens en lieu sur, vous ne serez pas obligé de les suivre. Biensur, ça aurait été encore plus simple de vous tuer mais vous ne semblez pas d'accord ...

*Elle essayait de prendre l'air le plus convainquant possible. D'ailleurs elle même était presque convaincue de ce qu'elle disait. C'est une histoire plus fun que celle de l'arrivée en bateau.
Elle se leva, s'approcha de Kal'Alzaroth et posa ses mains sur le torse du jeune homme pour le supplier :*

Pour la survie de l'humanité, Kal'Alzaroth, aidez nous !

*Quand Kal'Alzaroth s'éloigna d'elle, Kumiko tomba à genou. Elle laissa aussi tomber ses bras le long de son corps, lasse. Decidement, cet homme n'en avait rien à foutre du reste du monde et ne pensait qu'à sa tronche. Elle s'assit, fesses sontre les talons, croise les bras et tourne la tête en direction opposée du jeune homme.*

C'était bien la peine que j'attende deux heures sous votre lit que vous finissiez de vous récurer les orteils. Et d'ailleurs je vous ferais remarquer que vous ne vous etes pas habillé. (Pas marqué dans le Rp )

Bah en fait ...

* Kumiko rougit legèrement. Elle passa une main derrière sa tête et fit un large sourire au jeune homme.*

Je flippe grave à l'idée que les monstres de tout à l'heure revienne et j'ai peur de dormir toute seule.

*Puis son sourire s'effaça et elle baissa le regard, génée.*

*Kumiko, étonné de la réponse positive de Kal'Alzaroth, releva le regard vers lui. Où était le piège ? Il y a 5 minutes elle tentais de le tuer. Maintenant il lui proposait de partager son lit. Kumiko était, certes, plutot naive, mais pas suicidaire.*

Je vous laisse votre lit. Le sol m'a l'air très confortable ... u_u

*Elle s'allongea donc sur le sol de pierres froides. Dans le fond, elle n'était pas si mal installée. La fermeté est bonne pour le dos, et le froid ... raffermit les muscles !
Elle avait enroulé ses cheveux sous sa tête pour se faire un "oreillé". Face au plafond, mains sur le ventre, elle n'avait vraiment pas l'air très maline comma ça.*

*Intelligente remarque. En effet, le jeune homme n'aurait qu'à se donner la peine de quelques pas pour aller embeter la pauvre Kumiko, qui du coup ne savait plus trop quoi faire. Mais bientot, le froid des pierres donna raison à Kal'Alzaroth.*

Finalement ... Vos couvertures me tentent bien.

*Elle se leva et s'approcha du lit, sans encore oser y entrer, non par timidité mais pas prudence.*

*Kumiko hésita encore un instant. Mais la chaleur du lit l'attirait trop. Elle se glissa donc dans les couvertures en prenant soin de garder ses distances avec Kal'Alzaroth.*

Surtout n'hesitez pas à me dire si je vous gène.

*Aurait-elle du préciser avoir tendance à piquer la couverture ? *

*Kal'Alzaroth était donc en sous-vêtement à coté d'elle. Bon. Mais Kumio prefera rester habiller, des fois qu'elle ai besoin de fuir à toute vitesse ...
Elle sentit une douce chaleure provenant de coté du jeune homme ... alors qu'il se déshabillait. Comment interpreter cela ? Elle preferait ne pas y reflechir.*

Bien ... Bonne nuit. Et merci encore de votre accueil.

*Kumiko sentait Kal'Alzaroth s'endormir à coté d'elle. Elle ferma les yeux elle aussi. Mais le sommeil ne venait pas. Quelque chose l'empechait de dormir... C'était trop tentant.
Elle se retourna vers Kal'Alzaroth, passa une jambe par dessus lui, et entreprit de l'étrangler.
['Peut toujours essayer ...]*

*Kumiko ne s'attendait pas du tout à cette réaction. Elle n'avait pas eut le temps de riposter que Kal'Alzarothe s'était déjà retourné. Il lui fallu quelques secondes pour comprendre ce qui lui était arrivé.
Quand l'insulte lui parvint au cerveau, elle se vexa sevèrement.*

Pardon ?

*Elle se redressa et lança son poing contre la joue du jeunne homme, avant le lui faire manger son oreiller.*

Kal'Alzaroth ouvrit à peine un oeuil.

Mouais, ça aussi bof... Vous risquez de mal dormir sans votre oreiller, je vous conseil de le récupérer.

Ha et faites attention. même avec une si faible force, vous risquez de vous faire dumal à me frapper...

Kal'Alzaroth sourit, les deux yeux fermé. 9a n'avait pas été si désagréable que ça...

*Kumiko soupira, enervée, et enleva l'oreiller du visage de son enfoiré d'hote. Elle s'assit et croisa les bras. Elle n'avait vraiment pas envie d'en rester là.*

Non seulement vous ne voulez pas creuver, mais en plus vous osez ...

*Kumiko fit un mine degoutée en tirant la langue.*

Vous auriez au moins pu vous brossez les dents.

*Et elle donna un coup d'oreiller au jeune homme pour se calmer, le temps de trouver autre chose à lui balancer.*

*Re-coup d'oreiller dans sa face.*

Sacrifice ? Mais je ne vous ai rien demandez moi, si ce n'est de mourir ! C'est vous qui me sautez dessus !
Et où est-ce que vous avez appri à embrasser ? Chez les barbars ? -_-'

*Kumiko, elle, ne murmurait pas. Elle savait qu'ils étaient seuls dans le manoir et que le bruit de leur "dispute" ne dérangerait personne.*