Nom : inconnu
Prénom : inconnu
Surnom : se fait appeler Judicaël, ou Jude
Age : 24 ans
Sexe : masculin
Nationalité : inconnue
Un signe particulier : son oeil gauche ou plus exactement la partie gauche de son visage
Arme(s) : une épée courte, les bandages qui retiennent ses cheveux
Element(s) favoris (2 max.): aucun… l’eau ou la glace à la limite
Technique(s) (4 max.): Ouvre les Yeux : en touchant quelqu’un (contact de peau à peau) ou en le regardant dans les yeux avec son œil gauche, il peut s’immiscer dans son esprit (lire ses pensées, le torturer mentalement, le controler plus ou moins…).
Transfert : peut guérir pratiquement n’importe quoi ou n’importe quoi grace à, d’une part, ses compétences en médecine, d’autre part une technique très spéciale qui lui permet d’absorber en quelque sorte la douleur de quelqu’un. Il souffre d’autant qu’il soulage sa cible. Cela lui a permis de réussir des opérations très difficiles ou de torturer
Luciole : il peut émettre de la lumière ou faire qu’un objet s’éclaire
Clef unique : peut ouvrir des portails de transfert d’un endroit à l’autre. Quand il peut, il utilise des objets (porte, fenêtre, n’importe quoi qui peut s’ouvrir et permettre le passage d’un humain) sinon il est obligé de le créer lui-même et c’est très très très fatigant T___T.
Ultime technique (une seule et pas dévastatrice) : Peut rendre ses rubans aussi coupant qu’un cutter et aussi solide qu’une feuille d’acier de huit mm d’épaisseur et les faire bouger par la pensée
Histoire : [à venir]
Sur la famille, la naissance et l'enfance de Jude ne nous attarderons pas plus que nécessaire. Sachez seulement qu'il y a une quatorzaine d'années, un enfant errait à travers le pays, qui fut recueilli par un médecin, le Dr Joseph Blaezesnporn, qui venait d’avoir une petite fille, Marie, et avait besoin de quelqu’un pour remplacer sa femme dans son rôle d’assistante.
Judicaël devint l'apprenti et bientôt fut considéré par tous comme un membre à part entière de la famille. Par tous sauf par lui-même.
Peu avant son seizième anniversaire, Jude en savait presque autant que son maître. Il était bientôt temps pour lui de partir, ne comptant pas devenir médecin et ayant des projets bien arrétés quand à son avenir.
Un jour que le docteur Blaezensporn était en visite chez des malades, il fit ses bagages et quitta la mansarde qui lui servait de chambre. L’épouse de son hôte le rattrappa et, comme elle aimait le garçon comme son propre fils, tenta de le retenir. L'adolescent le prit mal mais fit mine de se rendre à ses raisons et se laissa guider jusqu’à l'entrée de la maison. Là il défit ses bagages et sortit ses instruments.
"Tu sais, Joseph et moi avons beaucoup réfléchi... il est temps pour toi de te faire une situation. Pourquoi ne pas devenir chirurgien ? Tu as de grandes capacités et nous sommes prêts à t'aider à t'installer, tu s..."
D’un coup vif il avait tranché la gorge de la femme de son bienfaiteur. Un autre éclair métallique et la petite fille de la maison, accourue au bruit, rejoignait sa mère.
Judicaël eut une simple grimace de mépris et s'en alla.
Il devint quelque temps médecin itinérant. Le jeune homme présentait bien, avait l’air amical, ouvert : le succès fut immédiat. Il attirait la sympathie et la confiance comme le miel attire les mouches. Il pouvait parcourir les routes les plus dangereuses sans autre protection que son petit bagage de médecin, il s’en tirait sans une égratignure.
Il marquait profondément les esprits dans les endroits qu’il traversait et il n’était pas rare d’entendre les gens parler, des mois après son passage, du p’tit médecin aux cheveux gris.
Un soir d'été, l'aimable petit médecin se laissa aller à ses penchants et se délecta de la mort d'un marchand itinérant. Une fois son forfait accompli, il ne tarda pas à s'apercevoir que la vieille jument de l'homme le suivait à la trace, apparemment très attachée à celui qui avait abattu son bourreau. Il ne s'en soucia guère, ne la chassa pas et ne l'attira pas. Un beau matin d'automne il s'aperçut que sa compagne de voyage boitait mais il ne s'en occupa pas. L'attachement que lui portait cet animal était un mystère qu'il ne cherchait pas à approfondir ni à entretenir. Un tavernir tenta de le convaincre de bien s'occuper de la jument, qui pouvait lui être utile, mais Jude ne se souciait pas de s'encombrer d'une bouche à nourrir. Un an avait passé et la vieille jument, toujours boiteuse, avait pouliné d'un petit poulain gris, ce qui ne changea pas d'un pouce le comportement de Judicaël à leur égard. Il n'y pouvait rien si cette vieille carne complètement toquée s'était entichée de lui. Pourtant, un soir, alors qu'il pensait avoir le temps d'attendre le prochain village avant la nuit tombante, Judicaël fut attaqué par une meute de loups. Il était encerclé au pied d'un chêne lorsque la jument surgit de nulle part et commença à agresser l'un des loups. La meute se détourna aussitot de Judicaël pour se concentrer uniquement sur la vieille bête, permettant au jeune homme de s'enfuir. Pour une raison inexplicable, il se retourna et vit l'animal vautrée au sol dans une mare de sang, submergée par la meute de loups affamés. Lorsqu'il s'en détourna, le mince poulain gris était face à lui. Sans un mot, Judicaël flatta l'encolure du petit et ils partirent ensembles. Depuis ce jour, Jude et Warlock ne se sont jamais quittés, le petit poulain et sa mère ayant réussis là où tant de personnes avaient échouées : s'attacher Judicaël.
D'où est inspiré votre personnage : d’une illustration
Autre : un cheval de guerre, Warlock. Le père Noël a 1 441 ans, mais ne me demandez pas comment je le sais. Et pour des raisons qui m'échappent notre sapin cet année est essentiellement constitué de néant et de vide... donc pas de sapin. C'est grave, docteur ?
[une partie de ma famille est déjà sur le fofo
tradition familiale ?]
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